La
conscience du sacrifice est ancienne. Elle a commencé dans le Jardin d'Eden. Le
Très-Haut a eu besoin de sacrifier un animal pour couvrir la nudité d'Adam et
Eve, remplaçant ainsi les feuilles du figuier, inspirées par le diable.
N'y
avait-il pas un autre moyen de l’Eternel résoudre la question de la nudité
d'Adam et Eve sans la mort de l'animal ? S'il y en avait un, Il l'aurait fait.
N'y
avait-il pas un autre moyen de sauver l'humanité sans le sacrifice de Jésus ?
S'il y avait eu un, Il l'aurait fait.
Comme
nous pouvons le voir, le sacrifice n'est pas une question de choix. A partir du
moment où l’on veut obtenir quelque chose dans la vie, obligatoirement, nous
devons nous lancer dans le sacrifice.
On
ne peut rien y faire!
Il
n'y a pas un seul domaine dans la vie laïque ou spirituelle où ne s'applique
pas le sacrifice.
Pour
une profession à succès, on doit s’attacher fermement aux études; Pour obtenir
un salaire mensuel, on doit travailler;
Pour
maintenir un mariage solide, le couple doit se sacrifier l’un pour l’autre,
pour avoir une rencontre avec Dieu, on doit sacrifier sa chair;
Pour
rester dans la foi, on doit sacrifier sa propre volonté;
Pour
obtenir le salut éternel de l'âme, on doit sacrifier, jour après jour.
Jésus
a dit: «Si quelqu'un veut….sauver sa vie (il) la perdra, mais celui qui la
perdra (sacrifice) à cause de Moi la trouvera.» (Matthieu 16:25).
L'histoire
du peuple d’Israël documente, par des faits, que seuls les sacrifices les a
délivrés. Malgré les Alliances, malgré d’être le peuple élu, de posséder les
promesses et, surtout, d’avoir dans leurs ancêtres une histoire de foi, de
fidélité et de compromis avec Dieu, même ainsi, au moment des difficultés, il a
dû sacrifier pour survivre.
Dans
la guerre contre les Philistins, Saul, pressé par les circonstances, a désobéi
au prophète Samuel et a offert un sacrifice pour empêcher que son armée déserte
(I Samuel 13:8-14)
Il
n'avait aucune autorité pour accomplir le sacrifice. C’était une tâche
exclusive incombant aux sacrificateurs. Cependant, motivé par un esprit de
peur, il s'est empressé à le faire. De ce fait, Dieu a regretté de l'avoir fait
roi.
À
cette époque, le sacrifice, réalisé avant la bataille, signifiait la garantie
du succès. Avec cette prise de conscience, les soldats allaient contre les
ennemis absolument certains de la
victoire. Ils savaient que le secret de la victoire se trouvait dans le
sacrifice à Dieu.
Le
diable et ses enfants haïssent le sacrifice. Ni si Jésus dit: "Si
quelqu'un veut venir après Moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa
croix, et qu'il Me suive’’ (Matthieu 16.24), les incrédules y croient.
Tout
celui qui n'est pas disposé à suivre cette règle, cela ne lui sert à rien
d’accepter Jésus en tant que Seigneur et Sauveur. Le Seigneur Jésus exige trois
niveaux de sacrifice:
Premièrement:
Renoncer à lui-même ;
Deuxièmement :
Se charger de sa croix et
Troisièmement:
Le suivre.
Lequel
des trois est le plus facile ? Aucun. Tous exigent du sacrifice, du sacrifice
et du sacrifice.
Qui
croit va de l’avant. Qui ne croit pas, qu’il reste alors sur place comme les
vierges folles (Matthieu 25:1-13).
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