lundi 6 novembre 2017

Croire ou accepter


Ainsi comme, tout ce qui brille n’est pas or, ni tous ceux qui disent croire en Jésus, y croient réellement.
Beaucoup de bonnes personnes confondent le fait de croire et d’accepter. Là est la raison d’autant de frustrations de la foi.
Si le fait de croire était limité simplement au fait d’accepter, le Nom du Seigneur Jésus ne serait pas rendu si honteux par les «mauvais frères».
Le fait de croire n’a rien à voir avec le fait d’accepter.
Lorsque quelqu’un accepte, il se lie à la personne, reste ou se lie dans une prétendue «union stable». Par décharge de conscience, satisfaction à la société et à la «foi», rien de tout cela change son état civil.
Du point de vue spirituel, cela prouve une foi mélangée à la passion ou aux sentiments futiles et inutiles.
Lorsqu’on accepte le Seigneur Jésus, la relation se développe sur la base de sentiments de passion. Elle dispense toutes renonciations personnelles, obéissance ou honneur envers la parole engagée.
Par contre, lorsqu’on croit à quelqu’un, de forme biblique, on assume un compromis de don inconditionnel de soi. C’est le mariage pour le reste de la vie institué par le Tout-puissant.
Le verbe «croire», dans l’original grec, traite de ce genre d’engagement. Il implique le sacrifice quotidien jusqu’à la mort, pour part de ceux qui croient.
C’est ce genre de croyance qui garantit la vie éternelle.
C’est pourquoi, celui qui croit au Fils a la vie éternelle… (Jean 3:36).
Celui qui ne croit pas est déjà condamné à l’Étang de Feu et de Souffre, là où des pleurs et des grincements de dents.
Évêque Edir Macedo
Évêque Edir Macedo

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