Bonjour, évêque!
Je viens juste de participer à la
recherche du Saint-Esprit. AHHH! QUEL JOUR! Je peux affirmer cela aujourd’hui
et avoir la certitude de la concrétisation du déversement du Saint-Esprit dans
ma vie. Ce fut comme vous l’avez demandé, évêque, lors de l’émission:
«AVEZ-VOUS L’IDEE DE CE QU'EST AVOIR L'ESPRIT DE DIEU EN VOUS?»
En fait, évêque, je n'avais pas cette
pensée. Bien que j’affirmais L’avoir reçu. Menteuse, fausse, trompeuse,
sournoise, sale et bien pire... C’était vraiment ainsi que je me sentais hier
soir. Comment pourrais-je dire avoir en moi l'Esprit de Dieu Lui-même et faire
l’Oeuvre de Dieu comme ouvrière, si ma vie, jusque là, ne présentait pas le
profil d'une personne qui est née de Dieu?
Alors j'ai décidé de «jeter dans la
boue» le temps – le temps d'église et le temps d’Oeuvre. Hier, lors de la
recherche, j’ai eu une rencontre réelle avec le Sauveur de mon âme et
aujourd'hui j'ai reçu le baptême du Saint-Esprit.
Honnêtement, je pensais que je
n’avais plus aucune chance et que Dieu ne voulait plus de moi plus. Hier même,
j’ai servi comme ouvrière, mais j’étais définie: j’allais faire quelque chose
ou quelque chose allait m'arriver. Ce fut alors, qu’hier soir, le pasteur de ma
région a parlé d’une façon très incisive avec les ouvriers: «Ouvrier, si vous m'écoutez, il
y a toujours une solution pour vous. Mais, vous devez reconnaître votre
situation spirituelle à cet instant-même, soyez honnête envers vous-même.»
Évêque, j'ai toujours vu Dieu, parler
par la bouche de ce pasteur, mais hier je ne voyais pas Dieu parler avec moi,
cependant, c'était comme s’il était en train de «crier» sur moi. Après cela,
j'ai parlé et répété plusieurs fois: IL S'AGIT DE MA DERNIERE CHANCE. ET
FRANCHEMENT, JE N'AI PLUS RIEN A PERDRE, parce que le bien le plus précieux,
qui est l'Esprit de Dieu, je ne l'avais plus en moi, donc je n'étais pas sûre
de mon salut.
En fait, j'ai été cette drachme
perdue à l'intérieur de l'Eglise - et en uniforme d’ouvrière. J’étais cette
ouvrière «prête à tout», «si juste», «de Dieu». En y pensant, une indignation
s'allume en moi et secoue tout mon intérieur.
Mon Dieu - maintenant, je peux vous
appelé de mon Dieu - comment Seigneur avez-vous pu être tellement, tellement,
tellement miséricordieux envers moi? Depuis combien de temps, je vous servais
sans Vous connaître.
Je loue et rends grâce à Dieu pour le
privilège et parce qu'Il a agi envers moi, avec miséricorde. Maintenant, je
veux être pour Dieu ce que je n'ai jamais été, 100 %. Et affronter avec toute
ma force le diable afin de défaire ses oeuvres.
Évêque, aujourd'hui je vais parler
avec mon régional pour le remercier et avouer ce que je n'ai jamais dit. Que
va-t-il se passer? Je ne sais pas. Désormais, ce n'est plus à moi de savoir ou
de planifier quoi que ce soit. Parce que cette vie n'est plus à moi, mais de
Dieu. Et maintenant oui, elle est à 100 % entre Ses mains.
Je vous remercie, évêque! Que Dieu
vous bénisse et continue à vous utiliser d’une manière glorieuse pour aider
ceux qui (comme j'étais perdue, au sein de l'église) sont disposés à
s’abandonner ENTIEREMENT à Dieu et L’avoir comme seul Seigneur et Sauveur de
leur âme.
Indianne Pinheiro
la sinceritee est la pièce maitresse dans toute relation avec Dieu c est encore plus important de letre , tout d abord avec soi même et ensuite avec notre Dieu dans le cas contraire nous nous sentirons ttoujour tres mal lors ce que nous voudrons entrer dans sa présence quoique nous fassions donc il est important de savoir ce que nous voulons car sans son esprit il est impossible de lui être agréable mais aussi de lui appartenir pour cela cherchons son esprit de tout notre cœur toute notre âme toute notre force
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