samedi 10 septembre 2016

Comment puis-je avoir de la malice dans le cœur?

Bonjour, évêque!
Je suis une ouvrière de la Maison de Dieu et membre du Centre d’Accueil Universel, il y a presque trois décennies. En écoutant la Parole du Saint-Esprit, par votre intermédiaire, lors de notre cours d‘ouvriers, je suis restée en train de penser: «Comme puis-je avoir de la malice dans mon cœur, s’il ne contient que de la gratitude?»
Je suis très reconnaissante, en premier lieu, envers Dieu et ensuite, envers vous évêque, car par la porte du Centre d’Accueil Universel, il y a presque trente ans, est entrée une famille détruite. J’étais asthmatique, déprimée et angoissée, sachant que pendant quatorze ans, j’ai porté en moi cette maladie et j’étais toujours transportée d’urgence à l’hôpital. Mon père était alcoolique, totalement dépendant du vice, il ne nous apportait dans la famille, que des disputes et des malentendus. Notre maison était un petit morceau de l’enfer.
Aujourd’hui nous avons la paix, nous avons été guéris et délivrés de tout le mal et notre objectif est qu’au moyen de notre vie, de nos témoignages, d’autres vies soient touchées par Dieu. Pendant toutes ces années dans l’église et dans la foi, nous sommes déjà passés par beaucoup de luttes, par beaucoup de déserts, néanmoins, nous restons fermes jusqu’à aujourd’hui, parce que nous n’avons jamais perdu la vision, nous n’avons jamais retiré nos yeux de l’Autel.
Beaucoup d’ouvriers, de pasteurs, même d’évêques de notre temps ont cessé de regarder l’Autel et, aujourd’hui, ils ne sont plus parmi nous. Pour notre famille: Moi, mes chers parents, sœurs et beaux-frères (six ouvriers de la Moisson du Seigneur), c’est un honneur, un privilège, de rester ferme et avec la pureté du premier amour dans notre cœur.
Concernant les messages des messagers de Satan, ceux qui un jour ont été parmi nous et sont, aujourd’hui, en train de semer des paroles de doute, afin d’atteindre les purs, ceux qui ont de bons yeux, nous les ignorons, nous préférons ni même voir, ni entendre, nous ne savons même pas qui ils sont. Ainsi nous préservons notre foi, car il n’y a pas de bien plus grand que le Salut de notre âme et cette foi, nous avons réussi à la préserver depuis vingt-sept ans et nous la préserverons jusqu’à la fin.
Nous sommes comme ces guerriers de la Tribu Maassaï, qui affrontent et tuent un lion par jour, en se maintenant résistants, en préservant ce que nous avons de plus précieux: le Salut.
Sois fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de vie. Apocalypse 2:10
Janiere Freitas – Jardim Brasília – Brasília/DF
Évêque Edir Macedo
Évêque Edir Macedo

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