Écoutez ce que l’Esprit dit à ceux qui croient:
Celui qui insiste sur le fait de SENTIR pour CROIRE va mourir dans l’incroyance.
La foi est la certitude, c’est une conviction personnelle. Celui qui a la foi obéit à la Parole de Dieu et attend.
Il ne se lamente pas, ne se plaint pas et surtout, ne s’expose pas à tout type de préoccupation envers les autres.
Chaque fois que nous demandons quelque chose à Dieu selon Sa volonté et, en même temps, nous confessons des échecs, c’est comme si nous ne croyons pas. Pire: c’est comme si nous croyons plus à la force du Mal qu’à la Puissance de Dieu.
L’action de la foi ne cherche pas à sensibiliser les autres et à soulever des sentiments de peine.
Le Jeûne de Daniel est un acte de foi pure. Celui qui se soumet à ce jeûne est déjà en train de manifester la foi!
Au lieu de présenter une préoccupation ou une peur aux autres, pourquoi ne pas en parler à Dieu? C’est la foi!
Affrontez-vous les mauvaises pensées, les doutes et les peurs avec la même foi que vous sacrifiez dans ce Jeûne?
Doutez de vos doutes!
Celui qui sacrifie a le droit de revendiquer de Dieu, l’accomplissement de Ses Promesses. C’est la FOI!
Est-ce que quelqu’un a réussi à obtenir quelque chose de Dieu, en manifestant l’apitoiement sur soi? J’en doute fort.
Sachez tous d’une chose: Le Jeûne de Daniel n’est que le «début de l’excavation du puits».
Si quelqu’un se plaint tandis qu’il creuse, il ne trouvera jamais l’Eau de la Vie!
…Mais le juste vivra par sa foi. (Habacuc 2:4)
En d’autres termes: ceux qui jeûnent, qu’ils le veulent ou non, sont déjà dans la Foi. Ils ont déjà commencé à creuser. Après tout, qui pourrait commencer à creuser, s’il ne croit pas qu’il trouverait de l’Eau?
L’Éternel Dieu dit:
… Et Mon juste vivra par la foi; mais, s’il se retire, Mon âme ne prend pas plaisir en lui. (Hébreux 10:38)
Et les réclamations prouvent la volonté de désister. Le diable aime cela. Et comment!
N’ayez plus de lamentations, de bla-bla-bla ou de chose semblable.
Prenez l’habitude d’utiliser des paroles de FOI. Et, si vous aimez vraiment vous plaindre, vous lamenter ou vous révolter, faites-le devant Celui qui a promis:
Et voici, je suis avec vous tous les jours… (Matthieu 28:20)
Erika Priscila
Bonjour Évêque,
Je suis de retour à l’Universelle. Je suis à l’église depuis environ un mois, j’ai toujours été, comme vous le dites, évêque une «montagne russe» dans la foi, je suis ferme un temps et comme la vague qui se brise sur la plage, je sors et je m’éloigne, tout simplement.
Mais cette fois-ci, je suis revenue, déterminée à ne plus jamais sortir, je suis passée par un processus de délivrance compliqué et crois que j’ai été délivrée ce vendredi. Évêque, ce jeudi j’étais dans ma chambre en train de prier, je m’étais vidée de tout ce que j’avais à l’intérieur de moi, j’ai remis mon avenir, mon passé et mon présent au Saint-Esprit. J’étais en pleine communion, je demandais à l’Esprit de Dieu de mettre dans ma bouche les paroles justes pour L’adorer. J’étais en connexion avec Dieu Le Père, lorsque j’ai commencé à me sentir très mal, mes mains étaient en sueur, un froid au ventre, le corps tremblant, le cœur palpitant, des sensations que nous avons, en général, dans le processus de délivrance, tout était si intense que j’ai été obligée de faire une prière forte au milieu de ma recherche du Saint-Esprit, parce que j’ai pensé que j’allais manifester une force du mal dans ma chambre.
Je vis droitement, je passe ma vie à la Force Jeune Universelle (FJU). Je cherche toujours la présence de Dieu, je lis la Bible et je fais les chaînes du vendredi et je dis toujours au diable qu’il n’y a rien en moi qui m’accuse et pèse ma conscience devant Dieu, si je vois que j’ai fait quelque chose de mauvais envers le Saint-Esprit, je le confesse tout de suite, parce que je ne veux pas être accusée de quoi que ce soit, au moment où je serai dans Sa présence pour L’adorer!!!
Évêque, s’il vous plaît, orientez-moi, comment puis-je me sentir si mal dans ma recherche du Saint-Esprit, au point d’être opprimée et d’avoir ces symptômes? Comment ne plus vivre cela? Je ne donne plus d’espace au diable pour agir et je n’accepte pas que ce jeûne prenne fin, sans que quelque chose d’extraordinaire se produise dans ma vie. Aide-moi!!!
Tamires Salino
Bonjour évêque,
Je vais partager avec vous tous, mon témoignage glorieux, je suis à l’Eglise Universelle, depuis 8 ans, j’ai été appelée à être ouvrière de la maison de l’Éternel, il y a 7 ans et je peux vous dire Évêque que j’ai vécu tout ce temps trompée dans ma vie avec Dieu. Je suis arrivée à l’église, comme beaucoup viennent, déroutés, au plus bas, j’avais 17 ans, je venais de mettre fin à une relation d’un an, en raison de trahisons, de mon côté et du sien. Lorsque je suis revenue à l’église, je suis arrivée vide, triste, rien ne marchait avec personne…
J’ai assisté à des réunions et je me suis purifiée. J’ai commencé à me donner de plus en plus dans l’œuvre de Dieu. Je suis allée au groupe jeune et j’ai commencé à évangéliser, je prenais soin de l’église le samedi, dans l’organisation du nettoyage etc. J’ai rejoint la classe des ouvriers et j’ai tout de suite été appelée à être ouvrière, mais il y avait un détail évêque, je ne connaissais pas Dieu réellement, jusqu’à aujourd’hui, je pensais avoir été baptisée du Saint-Esprit et je ne l’étais pas. Évêque, voyez bien le risque que j’ai couru dans l’œuvre de Dieu, je n’avais pas réellement changé, j’étais là, en uniforme mais vide à l’intérieur.
J’ai rencontré un garçon à l’église, qui a été appelé à être ouvrier avant moi, nous avons prié et nous nous sommes mariés, nous sommes ensemble jusqu’à aujourd’hui, mais en raison de la course de la vie quotidienne, nous avons un peu oublié Dieu, Son œuvre. Ma vie est devenue un mensonge a partir de là. Plusieurs jeûnes de Daniel se sont passés, j’ai participé un peu au premier, mais les autres, je les ai faits, n’importe comment. Bref évêque, j’étais ouvrière, mais j’étais loin de Dieu, je n’avais aucun contact avec Lui, je priais, mais Il ne me répondait pas. Je L’appelais, mais je n’avais pas de réponse. J’ai décidé de vraiment faire ce jeûne, même en sachant que n’étais pas bien, j’ai fait un voeu avec Lui pour changer ma vie, je me suis totalement investie dans ce jeûne.
Evêque, j’ai vraiment mal en moi-même, mais je fais ce qui est juste. Mercredi dernier, j’ai eu ma rencontre avec Dieu, j’ai été scellée du Saint-Esprit. Ce fut quelque chose de merveilleux, je n’ai pas de mots pour l’expliquer, je ne peux que vous remercier évêque pour nous aider avec vos paroles, vos prières et parce que vous êtes un élu de Dieu. S’il n’y avait pas ce propos de foi, qui est le Jeûne de Daniel dans nos vies, je n’aurai jamais su que j’étais vide à l’intérieur de moi. Aujourd’hui, je vois déjà mon changement, je veux gagner des âmes, prendre soin des gens, je veux qu’elles aient ce que j’ai, la joie, la paix. Aujourd’hui, je peux dire «Ah quel Jour!», je n’ai pas pris au sérieux les autres jeûnes, mais au cours de celui-là, je donne ma vie et j’ai reçu en moi, la vie de Jésus-Christ. Merci beaucoup, évêque et que Dieu vous bénisse toujours plus.

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